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Apprendre le No Code : la compétence tech accessible à tous

Tu veux créer un site, une application ou automatiser des tâches sans apprendre à coder ? C’est tout à fait possible d’apprendre le No Code aujourd’hui même si tu n’es pas développeur.

C’est une nouvelle façon de construire des projets numériques. Grâce à des outils simples et visuels, tu peux lancer tes idées plus vite et sans dépendre de personne. C’est une vraie révolution pour les créateurs, les freelances, les petites entreprises… et pour toi aussi !

Mon objectif ici, c’est de t’expliquer ce qu’est le No Code, pourquoi il a autant de succès, quels outils utiliser, et surtout comment tu peux t’y mettre dès aujourd’hui.

Savais-tu qu’on peut créer une app mobile complète sans écrire une seule ligne de code ? Intrigué ? Lis la suite !

1.Qu’est-ce que le No Code ? Pourquoi apprendre le No Code aujourd’hui ?

Cette nouvelle technologie permet  de créer des sites web, des applications ou même des automatisations sans écrire de code. Tu n’as pas besoin d’être développeur ni de passer des années à apprendre un langage informatique.

À la place, tu utilises des outils visuels. Tu cliques, tu glisses, tu ajustes… un peu comme quand tu construis quelque chose avec des blocs. Et en quelques heures, tu peux déjà créer un projet fonctionnel.

Apprendre le No Code : la compétence tech accessible à tous

Pourquoi c’est utile aujourd’hui d’apprendre le No Code?

Parce qu’on vit dans un monde numérique. Tout passe par internet : vendre, communiquer, gérer une entreprise. Mais faire développer une application ou un site peut coûter très cher. Et ça prend du temps.

Avant de continuer, je souhaite attirer ton attention sur cette nouvelle fonctionnalité de ChatGPT qui t’aide à former facilement et gratuitement sur n’importe quelle compétence.

Plus besoin de passer des années à apprendre à coder

Il y a encore quelques années, créer un site ou une application demandait de longues heures d’apprentissage. Il fallait comprendre des langages comme HTML, CSS, JavaScript… Pas évident, surtout quand on débute.

Mais aujourd’hui, avec des outils No Code comme Webflow, Bubble ou Framer, tu peux construire des choses incroyables sans écrire une seule ligne de code. Tu utilises une interface visuelle, tu glisses des éléments, tu ajustes les paramètres, et le tour est joué.

Et si tu veux aller plus loin, tu peux toujours apprendre les bases du fonctionnement des bases de données ou des API, mais ce n’est plus un frein au démarrage.

Le No Code, c’est pour qui ?

Pour tout le monde. Que tu sois entrepreneur, étudiant, salarié ou même retraité. Si tu as une idée, tu peux la réaliser. Et si tu veux te lancer en freelance ou changer de métier, apprendre cette compétence  peut aussi t’ouvrir de nouvelles portes.

C’est un peu comme apprendre à lire et à écrire dans le monde digital. Tu n’as pas besoin d’être un expert, mais savoir le faire peut changer ta vie.

Et puis… Savais-tu que le marché du No Code dépasse déjà 4 milliards de dollars ? C’est une vraie tendance. Et elle ne fait que commencer.

D’ailleurs, les prévisions sont encore plus impressionnantes : estimé à 21,6 milliards de dollars en 2022, le marché mondial des plateformes No Code/Low Code devrait atteindre la somme colossale de 187 milliards de dollars d’ici 2030 (Source )

Alors, pourquoi ne pas en profiter ?

Apprendre le No Code pour lancer ton projet tout seu

C’est probablement l’un des plus gros avantages de cette technologie. Tu n’as pas besoin d’une équipe de développeurs pour commencer. Tu as une idée de startup ? Tu veux vendre un produit ? Tu rêves de créer une plateforme de réservation ou un petit réseau social ? Tu peux le faire toi-même.

Par exemple, la plateforme Comet, aujourd’hui bien connue dans le monde du freelancing tech, a été lancée en grande partie en No Code dans ses débuts. L’équipe a pu tester rapidement le concept, sans gros budget, avant d’investir davantage.

En gros, le No Code permet de passer de l’idée à l’action. Et ça, c’est précieux.

Avant de poursuivre, je souhaite démystifier certains termes techniques pour t’aider à mieux comprendre la suite.

2. Comprendre les termes techniques pour mieux apprendre le No Code

Quand on découvre ce nouveau monde, on tombe vite sur des mots un peu barbares : SQL, API, Firebase, REST, MongoDB… Pas de panique. Même si tu n’est pas développeur, tu peux comprendre l’essentiel. Voici une explication simple, naturelle, avec des exemples concrets.

Une "base de données", c’est quoi au juste ?

Imagine un tableur Excel. Chaque ligne contient une fiche (ex : un client, une commande, un produit). Chaque colonne contient un type d’information (nom, email, prix, date, etc.).
C’est exactement ça, une base de données : un endroit où on stocke plein d’informations organisées.

 Exemples :

  • Un tableau des clients pour un site e-commerce

  • Un tableau des tâches à faire pour une équipe

  • Un tableau des réservations pour un resto

SQL, MySQL, PostgreSQL… ce sont juste des types de bases de données

Le mot SQL (ça se dit « ess-ku-elle ») signifie « Structured Query Language ». C’est une langue que les bases de données comprennent pour ajouter, modifier ou lire des infos.

 

  • MySQL et PostgreSQL sont deux « marques » de base de données très connues.

  • Elles sont très utilisées dans les entreprises pour stocker les données de sites, d’apps ou de logiciels.

Tu peux retenir : si un outil te dit « connectez votre base SQL », ça veut juste dire « branchez votre tableau de données ».

Une API, c’est un peu comme une prise électrique

API, ça veut dire « Application Programming Interface ».
Mais en vrai, ce qu’il faut comprendre, c’est que c’est un pont entre deux outils.

Imagine que tu veux connecter un formulaire (type Typeform) à Notion. Il faut que l’un puisse « parler » à l’autre. C’est là qu’intervient l’API. Elle permet à un outil d’aller lire ou écrire des infos dans un autre outil.

Exemple concret :


Tu vends un ebook. Quand quelqu’un achète :

  1. Stripe gère le paiement.

  2. Grâce à l’API, les infos sont envoyées automatiquement dans ta base client (Notion ou Airtable).

  3. Et l’acheteur reçoit automatiquement un mail.

Tout ça, sans toucher une seule ligne de code, grâce à Zapier, Make, ou autre. L’API agit comme un intermédiaire invisible, qui fait circuler l’info.

REST, GraphQL… c’est juste une manière de parler à une API

Tu as peut-être vu ces mots-là : REST, GraphQL. Ce sont juste deux façons différentes d’organiser la « conversation » entre les outils.

Pas besoin d’entrer dans les détails. Retiens simplement que :

 

  • REST est le plus courant. C’est un peu le langage classique.

  • GraphQL est plus moderne et flexible, utilisé surtout par des apps plus techniques.

Si tu utilises un outil no code comme Make, tout est déjà fait pour toi. Tu n’as pas besoin de comprendre comment REST marche. Tu cliques, tu connectes, et c’est tout.

Services cloud : tu utilises ça tous les jours sans le savoir

Le cloud, c’est juste un mot pour dire que tes données ne sont pas stockées sur ton ordinateur, mais sur un serveur à distance (géré par une entreprise comme Google, Amazon, etc.).

 

Exemples de services cloud :

  • Firebase : permet de stocker des données, gérer des utilisateurs, envoyer des notifications…

  • Airtable : une base de données en ligne, accessible depuis ton navigateur

  • MongoDB : une autre base de données, plus souple que SQL

Tu utilises déjà le cloud quand tu consultes tes mails (Gmail), tes photos (Google Photos), ou tes fichiers (Google Drive).

 

C’est quoi un "workflow" (et pourquoi tout le monde en parle) ?

Un workflow, c’est simplement un enchaînement d’actions automatiques. C’est le chemin que suit une tâche, étape par étape, sans que tu aies besoin d’intervenir.

 Imagine un domino. Tu pousses la première pièce, et toutes les autres tombent à la suite.
Un workflow, c’est ça : tu déclenches un événement, et les actions s’enchaînent toutes seules.

 

Exemple concret de workflow :

Scénario : quelqu’un remplit un formulaire de contact sur ton site.

Voici un possible workflow :

  • Le formulaire est rempli.

  • Une notification t’est envoyée par email.

  •  Les infos de la personne sont ajoutées dans une base de données (comme Airtable).

  • Un email de confirmation est envoyé automatiquement au visiteur.

Tu n’as rien eu à faire manuellement. Le workflow a tout pris en charge.

Où trouve-t-on des workflows ?

Tu peux créer des workflows dans des outils comme :

  • Zapier : connecte des apps entre elles.

     

  • Make : enchaîne des actions visuelles.

     

  • Notion ou Airtable : automatisations internes selon certains déclencheurs.

     

  • n8n : workflows avancés hébergés chez toi.

     

Pourquoi c’est utile ?

Un workflow t’économise du temps. Il fait les choses à ta place, de manière fiable et répétable.
Tu peux t’en servir pour :

  • Gérer tes ventes

  • Envoyer des emails

  • Organiser ton planning

  • Gérer tes clients automatiquement

Un workflow, c’est comme un robot invisible qui fait les petites tâches répétitives à ta place, étape par étape. Tu le programmes une fois, et il bosse pour toi 24/7.

Et si je ne retiens pas tout ?

Pas grave. L’important, c’est de comprendre les grands principes :

  • Une base de données, c’est un tableau avec tes infos.

  • Une API, c’est un pont entre deux outils.

  • Le cloud, c’est juste « en ligne ».

  • Et les outils no code font le lien pour toi, sans que tu aies besoin de tout comprendre en détail.

Quand tu tombes sur un mot technique,  je te conseille de rechercher l’exemple d’usage derrière. Est-ce que ça te permet d’automatiser ? de stocker ? d’envoyer ? C’est comme ça que tu progresses sans te noyer.

Les outils d’IA évoluent très vite. Alors, j’aimerais te partager cette innovation dans la création d’image par l’IA

3. Apprendre le no code: Des outils accessibles, même avec peu de moyens

Un autre point important : le coût. Beaucoup d’outils No Code sont gratuits ou proposent des plans de départ à moins de 20 €/mois. C’est bien plus abordable qu’un développeur freelance à 400 € la journée.

Pour te donner une idée plus concrète, une étude d’AppMySite datant de 2022 a montré qu’une application qui coûterait 300 000 € en développement traditionnel pourrait être réalisée pour seulement 1 000 € avec le No Code (Source)

La rapidité d’apprentissage est tout aussi bluffante : selon un rapport de Mendix, en moyenne 70% des utilisateurs d’outils No Code les maîtrisent en un mois ou moins, même sans expérience préalable (Source)

Voici quelques exemples d’outils pour apprendre le no code

  • Notion ou Airtable pour créer des bases de données simples,

  • Zapier ou Make pour automatiser des tâches,

  • Tally pour créer des formulaires professionnels en quelques minutes.

Tu peux donc prototyper et même monétiser ton idée avec un budget très limité.

Apprendre le No Code : la compétence tech accessible à tous

Apprendre le No Code devient accessible à tous

Ce n’est pas une mode passagère. c’est une technologie qui progresse vite, très vite. Les outils sont de plus en plus complets, les communautés grandissent, et les cas d’usage s’élargissent.

En 2024, Gartner prévoyait que 65 % des applications seraient créées avec des technologies Low Code ou No Code. Cette tendance est confirmée par la croissance explosive du marché .

Selon les projections du cabinet d’analyse Gartner, les investissements dans les plateformes Low Code/No Code devraient générer 31,9 milliards de dollars de revenus en 2024, marquant une croissance significative et continue (Source)

D'autre chiffres impressionnants

Une autre de leurs prévisions, très souvent citée, indique même que 70% des nouvelles applications d’entreprise utiliseront des technologies Low Code ou No Code d’ici 2025 (Source)

Les possibilités sont énormes 

 

  • Créer un SaaS complet avec Bubble,

 

  • Automatiser la gestion de son entreprise avec Make,

 

  • Construire des applis mobiles avec FlutterFlow,

 

  • Lancer une boutique en ligne avec Shopify ou Webflow.

Apprendre le no code , c’est prendre une longueur d’avance dans le monde numérique

La technologie est partout. Dans les entreprises, les écoles, les administrations. Savoir utiliser des outils No Code, c’est comme parler une deuxième langue professionnelle.

Tu ne deviens pas développeur, mais tu comprends comment fonctionne un produit digital. Et ça, ça change tout.

Tu gagnes en autonomie, tu gagnes du temps, et tu peux même te vendre plus cher sur le marché du travail. De plus en plus d’entreprises recherchent des profils hybrides, capables de créer des outils internes ou des prototypes rapidement.

Alors, tu attends quoi pour t’y mettre ?

Conclusion: Envie de te lancer ?

Maintenant que tu as les bases, tu te demandes sûrement par où commencer. La meilleure façon d’apprendre le No Code, c’est l’application pratique. 

Ce n’est pas seulement une compétence à acquérir, c’est une nouvelle manière de penser la création digitale.

Aujourd’hui, avec les bons outils et un peu de curiosité, tu peux transformer tes idées en réalité en un temps record. Que ce soit pour lancer ta startup, automatiser tes tâches quotidiennes ou simplement explorer de nouvelles possibilités, le No Code est la clé qui ouvre de nombreuses portes.

Tu veux maintenant passer à l’action ? Découvre les meilleurs outils pour apprendre le no code selon ton projet.

FAQ : Apprendre le No Code

Le No Code est-il fait pour tout le monde, même ceux qui n'ont aucune compétence technique ?

Absolument ! Le principal atout de cette technologie est justement de rendre la création numérique accessible à tous. Que vous soyez artiste, entrepreneur, étudiant ou même si vous n’avez jamais touché un ordinateur au-delà de la navigation web. vous pouvez vous lancer. Les outils sont conçus pour être intuitifs et visuels, vous permettant de construire par glisser-déposer sans prérequis techniques.

Non, le No Code ne remplace pas toujours les développeurs.

Il est parfait pour lancer rapidement :

  • Prototypes rapides (tester une idée)
  • Sites simples (pour se montrer en ligne)
  • Petites applications (pour le travail en interne)
  • Automatiser des tâches (gagner du temps)

Mais pour les projets géants, très complexes, ou avec des besoins uniques, les développeurs sont toujours nécessaires.

Le No Code, c’est un excellent point de départ. Il vous permet de lancer vos idées sans attendre. Si votre projet grandit , les développeurs peuvent prendre le relais.

 

Oui, les outils No Code sont sécurisés.

Les plateformes principales comme Webflow, Bubble, Make ou Airtable investissent beaucoup dans la sécurité.

Vos données sont protégées. Ils respectent les normes comme le RGPD.

C’est un avantage : vous n’avez pas à vous soucier de la sécurité, la plateforme s’en charge pour vous. C’est plus simple que de tout gérer soi-même.

Il existe de nombreuses façons d’apprendre le No Code :

  • Tutoriels en ligne : De nombreux outils proposent des tutoriels vidéo et des documentations complètes.

 

  • Communautés : Rejoindre des groupes Facebook, des forums ou des serveurs Discord dédiés  à cette nouvelle technologie est un excellent moyen d’apprendre et de poser des questions.

 

  • Formations en ligne : De nombreuses plateformes proposent des cours complets, souvent axés sur des outils spécifiques ou des cas d’usage (créer un site, une app, automatiser).
  • Projets personnels : La meilleure façon d’apprendre est de vous fixer un petit projet (créer votre portfolio, automatiser une tâche récurrente) et d’apprendre en faisant.

 

Commencez par un projet simple et montez en compétences progressivement !

 

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